A Dangerous Tale
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 Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman

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Sinéad O'Brien
Sinéad O'Brien
Goldilocks the Blond and the Master Thief

Feuille de Personnage
Disponibilité: Disponible
Acteur/Actrice: Nathalie Dormer
MessageSujet: Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman   Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman Icon_minitimeVen 3 Oct - 13:32








Sinéad O'Brien« In a world of locked rooms, the man with the key is king. And honey, you should see me in a crown. »



Je suis né(e) il y a bien longtemps, si bien que la plupart de mes souvenirs ont été emportés par l'espace, [trente] interminables hivers se sont écoulés. Dans [le Monde Enchanté], on me nomma [Goldilocks], mais suite à ma vie, mes actes, mes origines, beaucoup m'appelèrent rapidement [Boucle d'Or ou le Maître-Voleur]. J'appartiens d'ailleurs au Célèbre Conte [Boucle d'Or et les trois ours et le Maître Voleur]. Mais tout cela appartient au passé. Aujourd'hui, mes souvenirs sont certes revenus, mais ma vie d'antan est encore bien loin de moi...

A Storybrooke, les habitants m'appellent [Sinéad O'Brien], nom que je porte depuis de longues années et qui devint presque naturel. Mes amis préfèrent me surnommer [Shinny, Sineady, Sinny]. La plupart des habitants peuvent me trouver [chez moi], où j'exerce la passionnante profession de [officiellement, professeur de danse ; officieusement, cambrioleuse]. Mais si vous préférez creuser dans ma vie privée, vous découvrirez rapidement que je suis [célibataire], mais que mon désir se porte vers [les Femmes]. De plus, ici comme ailleurs, je fais partie des [Neutrals], même si une partie de moi demeure égoïste, car je sers avant tout mes propres intérêts.

Pour finir, je dois souligner le fait que l'on me confond souvent avec [Natalie Dormer].





Le souffle court, la fillette s'arrête contre un arbre et regarde derrière elle. Elle peut entendre le cliquetis des armures qui la poursuivent, et elle lève les yeux au ciel, des larmes commençant à monter. Ce n'était pas le moment. Reprenant son souffle, elle reprit aussi sa course. Elle connaissait cette portion de la forêt presque comme sa poche, mais ne parvenait pas à les semer. Elle se demanda fugacement si ses parents avaient pu s'en sortir eux. S'ils avaient pu s'enfuir. Mais la question resta en suspend, alors qu'elle reprenait sa course.
A sept ans, elle avait parfaitement conscience qu'elle n'avait aucune chance de les semer. Pourtant elle essayait quand même, avançant à travers les arbres dont les branches fouettaient son visage. La panique était tout ce qui lui permettait de continuer, alors qu'un point sur le côté commençait à se faire sentir.

Ses pas la menèrent plus loin, trop loin pour qu'elle sache encore où elle était, et pourtant elle pouvait toujours les entendre. Ils étaient deux à ses trousses, peut-être qu'elle aurait une chance. Peut-être que...

Alors qu'elle lançait un regard en arrière, elle ne vit pas venir la descente et elle tomba en avant. La chute fut rude, mais elle tenta de se relever, la main appuyée sur son crâne, un gémissement douloureux échappant à ses lèvres. Un gémissement qui fut bien vite arrêté par un étouffement surpris. Devant elle se trouvait trois ours, occupés à manger des baies sur un buisson. Les six billes d'un noir effrayant se fixèrent sur elle qui reculait, effrayée. Entre les gardes, dont elle pouvait entendre les appels, et les ours, elle ne savait pas quoi choisir.
Les animaux s'échangèrent un long regard avant que l'un d'eux ne se décide à s'approcher d'elle pour venir la renifler. Coincée contre la pente descendue contre sa volonté plus tôt, elle ne pu s'enfuir et ferma les yeux, attendant que les bêtes l'attaquent. Ce qui n'arriva pas. Un 'oooonh' la fit ouvrir les yeux, et elle déglutit en voyant l'ours si proche d'elle. Elle pouvait voir les dents impressionnantes, à cause de la mâchoire entrouverte qui permettait à l'animal de mieux sentir son odeur.

Elle en oublia les soldats qui étaient après elle lorsqu'elle sentit le museau froid venir chercher sa main pour une caresse. Elle se demanda rapidement si elle n'était en train d'halluciner, si elle n'était pas déjà morte en réalité. Les poils sous sa main étaient rugueux et secs, mais elle pouvait sentir la chaleur de l'animal sous ses doigts. Et elles n'avaient plus peur désormais. Ou tout du moins elle le cru, jusqu'à ce qu'elle entende les voix au dessus d'elle.

« Elle est là ! »

La fillette blonde releva les yeux vers la provenance du son et vit les deux soldats en armure noire. Elle se redressa soudainement et recula au milieu des ours sans plus se poser de question, alors que les hommes juraient contre les animaux présents, hésitant à descendre faute d'arc ou d'arbalète sur soi. Avant de se décider.

Ils se laissèrent glisser jusqu'en bas de la pente avec agilité et arrivés en bas sortirent leurs épées. Qu'est-ce que des ours à une époque où les hommes affrontent des dragons et des trolls ? Qu'est-ce que deux hommes face à trois ours qui se dressent sur leurs pattes arrières pour s'attaquer à eux ?

Ils tuèrent les deux gardes sans trop de difficultés ; il faut dire affronter trois ours et non une petite fille, ce n'était pas tout à fait la même chose. Et puis ce n'étaient pas n'importe quels ours.



Elle n'en cru pas ses yeux lorsqu'elle vit la grotte où ils l'emmenèrent. L'endroit semblait confortable, il y avait du feu, mêmes des meubles. Ils expliquèrent leur histoire à l'aide de dessins qu'ils firent dans la terre meuble du sol.

Anciennement, ils étaient aussi humains qu'elle. Mais un jour ils rencontrèrent cette vieille femme et son corbeau. Elle voyageait et vendait des sculptures en bois. Beaucoup représentaient des ours, de toutes les tailles et toutes les formes. Leur fils, Iain en tomba amoureux, mais ils n'avaient pas d'argent pour lui en offrir une. Alors il la vola. Le lendemain, en se réveillant, ils étaient devenus des ours. Ils avaient pu garder leur conscience, et ils essayèrent de retrouver la vieille femme, mais elle n'était plus là. Elle avait comme disparu.

Après ça, ils avaient voyagé à travers différents royaumes pour essayer de la retrouver, sans succès. Ils finirent par abandonner et se résigner, s'installant ici. Puis elle leur était tombée dessus.



Elle resta avec eux, sans réel autre choix : ses parents étaient sans doute morts ou enfermés à vie, elle n'avait nul part où aller. Ils vivaient loin des hommes et de leurs problèmes, mais Sinéad avait bien du mal à ne pas essayer de se rapprocher de la ville. Son premier hiver fut le plus difficile également. Là où les ours pouvaient hiberner, elle n'avait d'autres solutions que de continuer à vivre normalement.

C'est à cette époque qu'elle appris à passer inaperçue dans les rues, juste une gosse abandonnée comme une autre. Elle devait faire attention à ne pas se faire attraper, et elle appris à voler avec le temps. Elle appris à se battre aussi, car elle n'était pas la seule à avoir besoin d'exercer ce type d'activité. Et si les petits voleurs à la tire des villes pouvaient s'organiser ensemble pendant l'été, elle restait une personne extérieure, qui disparaissait toujours une bonne partie de l'année.

Elle tua pour la première fois à dix ans, un gosse de son âge. C'était un accident. Ils se battaient pour une miche de pain sèche jetée dans une poubelle. Il était tombé en arrière et sa tête avait cogné trop dur sur le pavé. Elle avait fuit.

La deuxième fois, à douze ans, elle était armée.

Elle apprit à manier le poignard par elle-même en grande partie, comprit qu'en grandissant, elle ne pourrait plus se faufiler comme elle le faisait gamine. Qu'elle devrait se battre. Parce qu'elle ne pouvait pas juste s'intégrer ainsi dans la société. Ils étaient tous... Elle ne supportait pas le peuple qui vivait dans la peur, qui s’aplatissait devant l'autorité de monstres, et qui pensaient être tellement mieux qu'eux alors qu'ils ne valaient pas plus. Elle non plus ne se voyait pas comme meilleure. La seule différence était qu'elle l'admettait. Et puis elle ne pouvait pas se résigner à abandonner les trois ours. Ils lui avaient sauvé la vie, elle leur était redevable.



Le temps avançant, elle finit par avoir quinze ans.

Elle était en train de défaire un lièvre d'un piège qu'elle avait posé quand Iain était arrivé jusqu'à elle, visiblement paniqué comme le laissait entendre ses cris rauques d'ours. Il indiqua à la tête blonde une direction, et elle monta sur son dos après avoir passé son sac de proie sur son épaule, s'accrochant à la fourrure épaisse. Il l'emmena jusqu'à un village proche, où il semblait y avoir beaucoup d'agitation. Elle descendit rapidement et passa sa cape pour cacher son visage derrière une capuche. Sans attendre, elle poussa Iain en direction de la forêt pour elle-même aller voir ce qu'il se passait.

Sur la place du village, un ours était en train de se débattre. Elle reconnu le père de Iain, que des soldats tentait de contenir, et accourut dans leur direction, s'interposant entre eux et celui qui l'avait en parti élevée. Elle tenta de le raisonner, vainement.

Car ce qu'elle ne savait pas sur la malédiction que cette famille avait reçu, c'était qu'avec le temps, leur conscience finissait par disparaître. Quand ils perdaient tout espoir, qu'ils se laissaient aller à leur part animal. C'était ce qui était arrivé. Un coup de patte l'assomma à moitié et elle ne pu rien faire d'autre que de le regarder se faire tuer.

Elle parvint à regagner la forêt et à se cacher à nouveau. Elle expliqua ce qu'il s'était passé. Ce qu'elle soupçonnait.

Peu de temps après, ce fut au tour de la mère de perdre la raison. Et il ne resta plus qu'elle et Iain.

Ils adoptèrent un mode de vie itinérant. Sinéad voulait retrouver la sorcière. Elle disait qu'elle aurait moins de mal à se balader dans les villes puisqu'elle était humaine. Et elle pourrait faire croire que Iain était un ours qu'elle avait dressé dans un cirque. Leur vie était particulière, mais ils s'en sortaient. Sinéad continuait de voler sur une base régulière pour survivre, travaillait parfois, mais elle se rendit rapidement compte que la présence d'autres gens la dérangeait particulièrement. Elle se sentait comme un animal sauvage en leur présence. Différente, prise au piège... Elle s'arrangeait toujours pour éviter les foules et le contact des hommes en général, pour ne pas trop s'attirer d'ennuis. Sa vie était solitaire, malgré la présence de Iain à ses côtés. Elle ne comptait plus les nuits passées à la belle étoiles, ou dans les écuries d'auberges parfois quand ils pouvaient se le permettre ou s'y faufiler. En soi, cette vie lui convenait parfaitement.

Jusqu'au jour où son chemin croisa celui d'un homme.

Oh, non, pas dans ce sens là. C'était l'année de ses dix-sept ans, l'hiver était particulièrement rude, et elle n'avait eu d'autre choix que de se rendre en ville afin de délester quelques riches passants de leurs bourses.

Emmitouflée sous une cape d'un brun sale, tâchée et trouée, son regard perçant ne s'arrête que brièvement sur les passants. Elle met moins d'une seconde pour évaluer ce qu'elle pourrait gagner en les dérobant, et attend patiemment la perle rare qui lui fera tenir le mois, à elle et à Iain. Il n'était pas question pour elle de dérober quelqu'un de trop pauvre pour se relever de ce vol. Le temps passant, la neige commence à tomber, mais elle est toujours immobile et silencieuse dans son coin d'ombre. Ses joues se sont empourprées, et afin de ne pas laisser ses jambes geler, elle les agite à tout de rôle.

Finalement, son regard accroche une capeline de laine tressée rouge, tenue par un pourpoint en argent représentant des armoiries que l'adolescente ne connaissait pas. Ce qui était plutôt normal, considérant son éducation. La cape voletait légèrement, et laisser voir des bottes en cuir traité de magnifique facture, et la pointe du fourreau d'une épée légère. Elle ne la voyait pas, mais elle devinait sans mal une bourde bien remplie pendant de l'autre côté de la ceinture de l'homme. Sinéad amena ses mains à sa bouche et souffla dans les doigts réunis, afin de les dégourdir. C'est qu'elle avait besoin de toute l'habilité possible. Elle vérifia dans sa manche gauche la présence d'une lame courte pour couper les liens tranquillement. Ceci fait, elle était prête. Elle fit un détour, prit une rue afin d'arriver face à l'homme, prenant une posture penchée en avant, comme si le poids d'une vie déjà trop difficile pour son jeune âge l'accablait, elle avançait ainsi, le visage dissimulé sous son capuchon. Elle sentait la neige qui avait fondu au sommet de son crâne couler doucement le long de sa nuque, glaciale sur sa peau brûlante, alors qu'elle bousculait l'homme, se retournant pour s'excuser platement, entamant un geste leste, rapide comme l'éclair, qui fit tomber la bourse tout droit dans sa main. Voilà qui était fait. Et il n'avait rien remarqué.



Sinéad soupesait la bourse tranquillement dans une ruelle sombre, s'assurant que personne ne se trouvait là pour l'ouvrir tranquillement. Au poids qu'elle faisait, il devait facilement y avoir de quoi tenir tout l'hiver, estimait-elle. Pourtant, elle sentait que quelque chose clochait à travers le tissu. Un instinct qui se confirma lorsqu'elle ouvrit l'objet pour ne trouver que des écrous, fronçant alors les sourcils. Qu'est-ce que... ?

Dans son dos, elle n'entendit pas la porte s'ouvrir. Pourtant, elle savait que celle-ci grinçait terriblement, normalement, et que le bois malmené par le froid craquait à la moindre contrariété. Mais là, pas un bruit, rien. Elle sentit à la naissance de son échine une lame de poignard la menacer. Clairement pas un emplacement mortel, mais elle savait aussi qu'un coup là réduirait sa vie à néant. Elle serait paralysée. Ce qui en soi garantirait sa mort. Pas un simple tire-laine donc, non, quelqu'un de plus dangereux encore. Elle pouvait le sentir.

Elle inspira profondément, réfléchit une seconde.

« Vous êtes l'homme de d't'à l'heure ? »

Elle n'entendit rien, ne vit rien, et pourtant elle était persuadée que l'homme souriait. C'était évident.

« En effet. Tu es douée, mais te retrouver était un jeu d'enfant. Tu as besoin d'apprendre, petite.
- Qui vous êtes pour m'dire ça ?
- Mon nom importe peu, à vrai dire, tout ce qui m'importe est ta réponde à ma question. »

De quelle question parlait-il ? Cet homme était fou. Pourtant... Elle le savait proche, mais n'entendait pas sa respiration, sentait à peine sa présence, comme s'il avait été un fantôme. C'était comme s'il était là sans être là, comme si... Elle avait envie de se retourner pour savoir, pour voir, mais elle n'arrivait pas à se décider. Elle sentait au fond de ses entrailles de quoi il retournait. Après avoir passé des années dans la forêt et dans les rues, on finissait par développer un certain instinct.

Elle n'hésita pas.

« Oui. »

La pression de la lame disparut.



« Moi j'ai entendu dire qu'il était tellement doué qu'il avait dérobé sa propre vie à la mort ! »

Des exclamations impressionnées s'élevèrent, alors que l'ivrogne levait son verre pour le mener à ses lèvres, boire goulûment et le reposer bruyamment. Un sourire en coin naquit sur les lèvres de Sinéad. Elle avait changé par rapport à avant. Elle n'était plus une enfant sauvage, elle n'était plus maigre à en faire peur, ses cheveux resplendissaient et sa peau était nette si on oubliait peut-être la cicatrice quasiment disparu qui soulignait son arcade droite. Regardant dehors, la désormais femme pu voir la silhouette d'un ours l'attendre.

Elle était ici pour retrouver un partenaire qui ne se montrait toujours pas. Elle savait que la ponctualité n'avait jamais été la qualité principale chez les gens de son espèce, mais tout de même. Enfin, elle ne le blamerait pas. Elle-même tendait à imposer ses horaires aux gens.

Quand on ne connaissait pas de limites physiques, difficiles de s'imposer des contraintes abstraites. Enfin. Elle continua d'écouter la conversation des ivrognes.

« Comment qu'vous pensez qu'y soit dev'nu Maître Voleur ?
- J'sais pas... Moi j'sais juste comment qu'on d'vient l'maître du rhum ! »

Et il lève son verre dans l'approbation générale. Ah... Les hommes... Pas étonnant que Sinéad n'ait jamais cru en le véritable amour. Pour elle tout du moins. Bien sûr elle avait quelqu'intérêts en la gente féminine, par exemple, mais elle ne s'était jamais demandé si un amour véritable pouvait exister entre personnes d'un même genre. Et à vrai dire, elle s'en fichait un peu, elle avait bien d'autres choses à faire.

Son regard glissa d'ailleurs vers la serveuse qui venait lui redemander si elle désirait quelque chose, et qui glissa discrètement vers elle un morceau de parchemin. E12. Sinéad sourit, fit un clin d'oeil à la jeune femme et quitta le pub.

Elle passa sa main dans la fourrure brune de l'ours qui la rejoignit, et apporta son rapport au Maître.



Depuis qu'il était mort et qu'elle avait pris la relève, les choses avaient bien changées. Faire en sorte que le réseau lui obéisse toujours, les rassurer quant à la succession qu'elle avait repris... Enfin, elle. Elle avait caché son identité, confié en une personne en qui elle avait confiance de jouer son rôle, puis avait entreprit de voyager partout pour s'assurer que tout fonctionnait bien, comme le faisait régulièrement le précédent Maître Voleur.

Maintenant que c'était elle, elle ferait en sorte que tout fonctionne, et même mieux. Toute sorte de personne se trouvait sous les ordres du Maître Voleur – sous ses ordres – et il ne tenait qu'à elle d'exploiter ce système au mieux.

Retrouver ses parents, la sorcière qui avait maudit Iain... Ce n'était qu'une question de temps. Un temps bien contredit lorsque la Méchante Reine décida d'emporter la Forêt Enchantée avec elle.



La première fois, elle n'avait pas été emportée par la malédiction, se trouvant hors du pays à ce moment là, et avait pu en tirer tellement de profit. En temps de trouble, il est connu que les voleurs étaient les premiers à savoir quoi faire. Ainsi elle passa un temps très productif, en profita pour rassembler de nouvelles personnes sous sa coupe, mettant à profit les butins précédemment récupérer pour installer une bonne influence au sein de la communauté rescapée, voyageant pour aider ceux n'ayant pas pu s'installer sous la protection de Lancelot.

Parfois toutefois, elle se surprenait à espérer qu'elle eut été emportée par la malédiction. Iain lui-même ignorait pourquoi, mais il pouvait entrapercevoir, quand elle pensait que personne ne le voyait, la mélancolie sur son visage.

Cette influence lui permit, au retour des disparus, d'établir sa renommée. Non pas en tant que Maître Voleur, mais en tant que simple philanthrope, désireuse d'aider son prochain, se créant une identité en tant que Noble pour gagner une immunité et une protection certaine. Car qui pourrait la soupçonner après tout ? Surtout quand tout le monde pensait que le Maître Voleur était un homme. Le vent tournait en sa faveur. Tout allait pour le mieux.

Jusqu'à ce qu'une nouvelle malédiction opère, et que cette fois, elle se trouve au mauvais endroit, au mauvais moment.

Storybrook pu ainsi accueillir deux nouvelles âmes : celle de son frère, redevenu humaine pour l'occasion, et la sienne.


Derrière votre Ecran



Pseudonyme : Sylence
Âge : 21 ans
Comment avec-vous connu le forum ? Adressez vous au bureau des plaintes, aka la vieille o/ (Régina pour les moins intimes)
Que pensez-vous du forum ? J'ai pas tout à fait fini de faire le tour, mais il a l'air chouette :3
Quelle est votre disponibilité ? 5 jours par semaine je dirais.
Autre chose ? Dovakin, dovakin ~


© Jawilsia sur Never Utopia



Dernière édition par Sinéad O'Brien le Mer 8 Oct - 10:10, édité 6 fois
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Zelena Miller
Zelena Miller
The Wicked Witch, the Reddening

Feuille de Personnage
Disponibilité: Disponible
Acteur/Actrice: Rebecca Mader
MessageSujet: Re: Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman   Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman Icon_minitimeVen 3 Oct - 13:47

Soit la bienvenue !
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Elisysse Hearn
Elisysse Hearn
Mother Gothel, the Golden Icon

Feuille de Personnage
Disponibilité: Disponible
Acteur/Actrice: Charlize Theron
MessageSujet: Re: Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman   Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman Icon_minitimeVen 3 Oct - 16:00

Bienvenue à toi cher Maître Voleur !

En voilà un bel avatar ! Et je la préfère vraiment en blonde, alors c'est parfait !
J'aime beaucoup ton personnage, j'espère que nous aurons l'occasion de se croiser. Wink
Je dirai à Regina que sa publicité est charmante !

Bon courage pour ta fiche dans tous les cas, je repasserai dès lors qu'elle sera terminée.
Au plaisir, et surtout, j'espère que tu trouveras ton bonheur parmi nous !

Razz
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Zelena Miller
Zelena Miller
The Wicked Witch, the Reddening

Feuille de Personnage
Disponibilité: Disponible
Acteur/Actrice: Rebecca Mader
MessageSujet: Re: Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman   Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman Icon_minitimeDim 5 Oct - 18:59

Aaaaaah enfin Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman 3312515164







Bienvenue parmi nous

Zelena Miller






Ta Fiche est à présent terminée ! Tu es officiellement membre de ce forum ! Sois la bienvenue, et merci de nous avoir choisi !

A présent, tu peux continuer ton parcours vers les Bottins des Avatars, des Emplois et des Habitants ! N'oublies pas de te faire des amis grâce aux Carnets de Relations, et d'écrire tes différents RPs dans ta Feuille de Route ! Tu peux aussi remplir les critères de nos joueurs déjà sur place... N'hésites pas à aller les rencontrer sur la Chatbox pour faire connaissance !

Si tu as le moindre problème, adresses-toi directement au Staff, Zelena Miller ou Elisysse Hearn ! Nous serons ravies de t'aider.

Encore bienvenue ! Passes un bon moment parmi nous !



©Codage by Mr. Chaotik from Never-Utopia
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Régina Mills
Régina Mills
The Evil Queen, the Mayor of Storybrooke

Feuille de Personnage
Disponibilité: Disponible
Acteur/Actrice: Lana Parrilla
MessageSujet: Re: Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman   Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman Icon_minitimeDim 5 Oct - 19:28

Et la vieille t'emmerde o.o sldfsdjkfhskfjsh >__<
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Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman   Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman Icon_minitime

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Sinéad O'Brien ~ The Unbearable Woman

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